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  le blog kodamian

kodamian

Avec Flying Blue Gold : 2 aller/retour métropole = 3 gratuits

27 Mars 2008, 09:11am

Publié par kodamian

La carte Flying Blue Gold permet d'obtenir des suppléments de Miles.

Voici un décompte pour un voyage wallis-métropole.

J'ai obtenu 38162  miles pour wallis-métropole en ayant le statut gold.

De ces points, 20 763 donne des " miles-statut " et comptabilise 4 " vols-statut ".

Ce qui signifie qu'avec 2 voyages annuels wallis-métropole, on obtient 76324 points, dont 41426 " miles-statut ", ce qui permet d'obtenir l'année suivante encore une carte Flying blue gold ( minimum de 40 000 miles statut ).

Avec les 76324 points, on peut avoir 3 aller-retour wallis-fidji ( il faut 25 000 points pour avoir un billet prime ).

Donc 2 aller-retour métropole donneront 3 billets gratuits prime pour fidji.

A bon entendeur, salut !



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crise économique ( suite )

18 Mars 2008, 01:16am

Publié par kodamian

Voici un copier-coller intéressant , d'un intervenant sur le forum de boursorama, intéressant à lire.


CRISE US IMPORTANTE A VENIR ! A LIRE !    10:52 14/03/07

L'EUPHORISATION DES ACTEURS ÉCONOMIQUES

Les opérateurs centraux du système en crise retardent l’effet positivement anticipateur de la phase d’accélération de la crise économique actuelle aux USA afin d’essayer de maintenir leur propre position avantageuse dans ce même système, en l’occurrence le maintien de son contrôle sur le Congrès par l’actuel parti au pouvoir aux Etats-Unis, et sa capacité à mobiliser d’autres opérateurs économiques dominants (les grands argentiers) du système actuel (grands opérateurs financiers, pétroliers et médiatiques) pour servir ce but.

Voici comment un système en crise, par l’action d’une partie de ces opérateurs dominants, sont préoccupés par leurs seuls intérêts de court terme, génère des actions qui de facto contribuent à accélérer son effondrement.

Ainsi, la mobilisation convergente des opérateurs financiers de Wall Street et des grands intérêts pétroliers pour permettre à G.W. Bush et au Parti Républicain d’utiliser le « succès » de leur politique économique est un cas d’école.
Les risques pesant sur chacun de ces groupes en cas de défaite du Parti Républicain sont ainsi apparus assez importants pour déclencher à partir du milieu de l’été 2006, au moment où la crise de l’immobilier, la fin de la hausse des taux de la Fed, l’échec en Iraq et l’impasse sur l’Iran devenaient patents, une vaste opération visant à convaincre l’électeur américain qu’aux Etats-Unis « tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes économiques ».

L’été 2006 voit en effet la majorité des acteurs prendre conscience de la fin des deux tendances dominantes récentes qui permettaient de garder le système en équilibre, à savoir d’une part l’alimentation de la consommation par l’ « enrichissement sans fin » grâce aux emprunts gagés sur l’immobilier et d’autre part la fin de la hausse des taux d’intérêts de la Fed remettant directement en cause le seul facteur récent de soutien à la valeur du Dollar.

Cette évolution risque de faire perdre le congrès au Parti Républicain et de plonger les lobbies pétroliers texans et financiers de Wall Street dans toute une série de crises très graves.

Ces deux lobbies, certainement les plus puissants des Etats-Unis avec celui du complexe militaro-industriel, ont en effet leurs destins liés très directement à l’administration Bush. Ainsi, Dick Cheney, le vice-président américain actuel, sait que, si le Congrès passe aux Démocrates, il sera l’objet de virulentes enquêtes parlementaires concernant la manière dont il a élaboré la loi sur l’énergie en 2003.

Or, ce qui sera dans la ligne de mire des parlementaires et peut-être de la justice américaine, ce sont des réunions secrètes que Dick Cheney a tenues avec les dirigeants des principales compagnies pétrolières américaines pour justement préparer cette loi accusée par les Démocrates d’être faite par et pour le « Big Oil » américain.

Nul besoin d’être fin psychologue pour comprendre où ces mêmes dirigeants de compagnies pétrolières voient leur intérêt dans l’échéance de Novembre. Comme, d’après les sondages, plus de 60% des électeurs américains placent la question du prix de l’essence parmi leurs principales priorités, une baisse du prix de l’essence est considérée comme un atout électoral extrêmement puissant pour le parti Républicain.

Mais en la matière, les pétroliers n’ont pas joué seuls. Car la firme «reine» de Wall Street, Goldman Sachs, dont l’ancien président, Henry P aulso n est devenu Ministre des Finances de G.W. Bush il y a quelques mois, a de manière imprévue fait basculer les cours du pétrole en se débarrassant fin Juillet de la quasi-totalité de ses « futures » pétroliers, secteur où elle exerce une influence déterminante, du fait de son indice référence, le GSCI (Goldman Sachs Commodity Index).

Le GSCI est au marché des denrées (marchandises) ce que le SP 500, le FTSE, le DAX ou le CAC 40 sont au marché des actions. Il est calculé selon un dosage, défini arbitrairement par Goldman Sachs, de la valeur en Dollar des marchés de 25 denrées essentielles comme le pétrole, le gaz, le blé, le maïs, l’aluminium, le cuivre, le bétail, …

Cet indice sert de référence à de nombreux opérateurs financiers, comme les « hedge funds », qui équilibrent leurs positions en fonction de la structure du GSCI. Or, fin Juillet 2006, sans aucune explication, Goldman Sachs a annoncé qu’il modifiait la composition de cet indice référence en diminuant la part de l’essence sans plomb de 8,45% à 2,3%.

Ainsi si les traders impliqués dans le marché pétrolier à terme s’interrogent toujours sur les fondements économiques de cette décision (le marché de l’essence sans plomb n’a pas été divisé par 4 entre Juin et Août 2006), ils n’ont en revanche pas eu le choix en terme d’arbitrage et ils ont dû vendre pour plus de 100 milliards de US dollars de contrats pétroliers à terme afin d’être en phase avec l’indice GSCI. La conséquence directe de cette opération a donc été un effondrement brutal du cours du pétrole sur les marchés à terme dont les médias se font l’écho chaque jour.

Or Goldman Sachs, comme ses « soeurs » de Wall Street, a également un intérêt direct à garder le Parti Républicain au pouvoir à Washington, non seulement parce qu’il existe une relation quasi-incestueuse entre la firme et l’administration Bush (R obert Z oellic k , l’ancien ministre du Commerce de Bush est ainsi récemment devenu vice-président de la banque), mais surtout parce que Goldmann Sachs est devenu un immense « hedge fund », donc totalement dépendant de paris faits sur l’avenir, et de paris de plus en plus risqués.

Il est donc essentiel pour cette banque comme pour les autres principales banques de Wall Street qui ont suivi la même évolution, de continuer à influencer au maximum le pouvoir politique en place, au mieux pour le faire agir en conformité avec les intérêts de la banque, au pire pour pouvoir anticiper ses décisions (et donc avoir une longueur d’avance sur les marchés). La «Plunge Protection Team» ou le détournement d’un instrument de protection au profit d’une politique de manipulation.

Dans ce contexte, une vaste offensive s’est mise en place en terme de communication. Elle reprend les mêmes logiques que celles concernant l’Irak avant l’élection présidentielle de 2004 : empêcher les électeurs de prendre conscience de l’ampleur du désastre en cours en les inondant de nouvelles fictives, en noyant toute « mauvaise » nouvelle objective dans une multitude de « bonnes nouvelles » subjectives (c’est ce qu’un économiste américain a appelé « la transformation des indicateurs en vindicateurs », en élaborant chaque semaine de nouvelles explications prouvant que l’actualité si « positive » est durable…

En fait, on assiste depuis quelques mois, et pour encore un mois, à un remarquable exercice de guerre psychologique probablement coordonné par le très secret « Working Group on Financial Markets » (Groupe de Travail sur les Marchés Financiers) créé par l’Executive Order 12631 sous Reagan en Mars 1988, ou autrement dénommé par le Washington Post, le « Plunge Protection Team » (Equipe de Protection contre les Plongeons). Ce groupe de travail a été créé à la suite de la crise boursière d’Octobre 1987 avec l’objectif de « promouvoir l’intégrité, l’efficacité, la régularité et la compétitivité des marchés du pays, et de maintenir la confiance des investisseurs ».

Ce groupe qui ne produit aucun rapport, n’a aucune visibilité publique et ne détaille ni l’ordre du jour, ni la composition de ses réunions, est dirigé par le ministre des Finances (Henry Paulson) et comprend le président de la Réserve fédérale ( B en S. B ernanke , ancien conseiller de G.W. Bush, nommé à ce poste fin 2005) et les deux présidents des autorités de surveillance des marchés : le président de la Securities and Exchange Commission Christopher Cox (nommé à ce poste par G.W. Bush en 2005), et R euben J effery III (nommé également par G.W. Bush à ce poste, après avoir été son conseiller), un des directeurs de la CPA, autorité américaine de transition en Iraq et également un ancien de Goldman Sachs comme H. Paulson.

Comme on peut le constater, la double influence de l’administration Bush et de la banque Goldman Sachs est totale sur cette entité qui a vocation à coordonner l’action des principaux acteurs publics et privés américains (invités à participer aux travaux du groupe) autour de l’objectif de « bonne santé » des places financières américaines.

Avec la disparition de la publication de M3, fin Mars 2006, et de nombreux indicateurs permettant de suivre l’évolution notamment des flux d’actifs en dollars dans le monde, ainsi que les actions éventuelles de la Fed et du Trésor américain sur les marchés, ce groupe de travail possède désormais des possibilités d’action accrues puisque non traçables ; et comme indiqué précédemment, les « hedge funds » semblent être les premiers opérateurs sollicités pour acheter du Dollar et maintenir son cours. Pour combien de temps ? Et à quel prix ? La réponse s'est trouvée dans quelques semaines après les élections.


Economic «State of Denial»
ÉTAT DE DÉNI DE RÉALITÉ ÉCONOMIQUE

Ce qui est en tout cas certain, c’est que depuis la mi-Août 2006, les réactions des marchés financiers se sont intégralement déconnectées de l’évolution de l’économie réelle et, facteur nouveau, des évolutions anticipables des banques centrales.
Or les marchés financiers ont été institués en emblème de l’évolution de l’économie pour les opinions publiques, surtout aux Etats-Unis. Dans le cadre de la stratégie de soutien au Parti républicain pour Novembre 2006, il était donc essentiel de permettre à ce « drapeau financier» de flotter haut dans le ciel de Wall Street, surtout quand tous les indicateurs concernant l’évolution de l’économie réelle évoluent négativement. Comme souvent en politique, mais aussi dans le monde des affaires quand les leaders ont un sens moral défaillant, « plus les choses vont mal, plus il est important de faire croire qu’elles vont bien, afin de gagner du temps et sauver ses propres intérêts ».
L’objectif de ces leaders n’est pas de maîtriser la crise, mais de gérer son explosion au mieux pour leurs intérêts propres.

Or s’il y a une chose certaine pour tout ce si petit monde, c’est que si une crise importante doit survenir, autant qu’elle survienne avec un congrès coopératif (comprenez : républicain). Pour ce faire, la technique mise en place est classique en matière de désinformation :
- institutionnaliser l’état de déni de réalité économique : affirmer que tout va bien et utiliser les mauvaises,
nouvelles pour en tirer des conclusions réjouissantes
- contrer tout indicateur objectif négatif par un indicateur subjectif positif,
- inventer chaque fois que nécessaire des « nouvelles tendances structurelles » démontrant la durabilité des évolutions souhaitées quand elles sont contredites par les faits.

En 2006, On a un très bon exemple de la mise en oeuvre simultanée des trois techniques avec la surprenante « révision miracle » des chiffres de l’emploi aux Etats-Unis. En effet, la parution d’un très mauvais chiffre de création d’emploi pour Septembre 2006 (51.000, alors que 120.000 étaient attendus) a coïncidé avec celle de l’étonnante découverte de 1,5 millions d’emplois qui auraient été créés depuis 1996, sans être comptabilisés dans les statistiques, et dont pas moins de 800.000 auraient été créés depuis le début de l’année 2006.

Il est évident que certains analystes sont plutôt suspicieux par rapport à cette révision d’une ampleur inégalée survenant à un moment propice pour G.W. Bush puisque celui-ci s’est empressé immédiatement d’en déduire le succès de sa politique économique.

Par ailleurs, si cette révision correspond à la réalité (car elle n’est peut-être qu’un nouvel exemple de la faiblesse de l’outil statistique américain), elle pose des questions fondamentales concernant l’évolution de la productivité aux Etats-Unis sur la même période : en clair, si le nombre d’emplois créés depuis le début 2006 est double de celui comptabilisé, alors la productivité de l’économie américaine doit être divisée par deux. Et que dire du très faible taux de croissance enregistré au deuxième trimestre - la moitié de celui du 1° trimestre - avec un tel afflux de nouveaux emplois ?

Cet exemple important démontre qu’en s’attardant un peu sur leur contenu, les « nouvelles miracles » injectées dans les médias américains ces dernières semaines posent beaucoup plus de questions inquiétantes sur l’état réel de l’économie du pays et/ou l’appareil statistique chargé de le décrire, qu’elles n’apportent de réponses plausibles sur son évolution « radieuse ».


NOUVELLES CONTRADICTOIRES UTILES A L'EUPHORISATION DES MARCHÉS

Par ailleurs, et c’est là une des caractéristiques essentielles de la situation actuelle, il est fondamental d’engager le reste du monde dans cette « euphorisation » car désormais l’économie américaine est intégralement dépendante du reste du monde, en particulier de l’Europe et de l’Asie, faute de voir simultanément le dollar et l’investissement aux Etats-Unis s’effondrer.

Ainsi, il est essentiel de cacher que la Fed se trouve dans une impasse car suite à l’effondrement du marché immobilier et à l’abondance de liquidités, l’économie américaine est bien entrée dans une période de stagflation (voire de « récessflation ») sur fond de faiblesse structurelle du Dollar. En effet, la Fed doit désormais baisser les taux d’intérêt pour soutenir l’économie, mais également les relever pour soutenir le Dollar. Elle est donc dans une situation impossible.

L’astuce actuelle consiste à utiliser de manière déconnectée les deux tendances et leurs supporters. Un jour, on met en avant les déclarations de tel responsable de la Fed assurant qu’il faut d’abord lutter contre l’inflation car l’économie ne pose pas de problèmes sérieux (on rassure ainsi les marchés sur l’état de l’économie) et le lendemain on fait déclarer à un autre membre de la Fed que la crise de l’immobilier commence à peser lourdement sur la croissance et que la Fed doit se préoccuper de cette évolution (là, on rassure les marchés en leur faisant miroiter une stabilité ou une baisse des taux).

Le plus extraordinaire, c’est que bien relayé par les circuits d’information financiers et les principaux opérateurs des marchés (et là on voit l’importance de l’instrumentalisation de la Plunge Protection Team), ce séquençage de l’information permet de maintenir l’euphorie au plus haut, même quand les chiffres de l’immobilier, de la consommation, du déficit extérieur, du déficit des paiements, de l’emploi… sont tous orientés au négatif. La « coalition of the willing », celle de l’invasion de l’Irak, a été bien entendu mobilisée avec au coeur le Japon et le Royaume-Uni qui assurent deux fonctions-clés : d’un côté maintenir un Yen faible permettant au « carrytrade » de se maintenir, « carry-trade » qui alimente massivement le financement des « hedge funds » et l’activité des marchés financiers ; et de l’autre une place britannique, avec ses relais financiers peu contrôlés (notamment les îles anglo-normandes), qui permet de couvrir différentes interventions sur les marchés notamment ceux des bons du trésor US, à propos desquels un nombre croissant d’analystes soupçonne les autorités américaines de racheter elles-mêmes via des intermédiaires privés leurs propres émissions. Il devient en effet de plus en plus difficile de cacher le fait que la balance des paiements américains s’enfonce dans le rouge.

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un commentaire boursier sur la crise actuelle ...c'est grave !

13 Mars 2008, 19:53pm

Publié par kodamian

Sur les sites de bourse en ligne, on trouve toute sorte de commentaire face à la situation actuelle.
Voici un commentaire " péché " ce matin , sur boursorama ( venant d'un lien sur pro-at.com ).

Croire ou ne pas croire, " that's the question " !

Mais c'est toujours intéressant à lire ...

A bon entendeur, salut !


FLASH SPECIAL..... CA VA FAIRE TRES MAL    18:10 12/03/08

Enfin sauvés !!

Je commençais à être en mal de sujet pour mes commentaires hebdomadaires quand soudain ... coup de théâtre ... la Réserve Fédérale américaine a parlé et les marchés jusqu'alors déprimés se sont littéralement envolés.


Pas de chance au lieu de faire ça un vendredi comme on doit le faire lorsqu'il n'y a pas d'urgence, voilà que cette annonce tombe un début de semaine, étrangement juste au moment où les indices actions étaient à portée de main de casser un support important et de réaliser un plus bas ... étrange !

Malgré ce contre-temps je vous propose un commentaire rapide sur cette annonce avant de partir vers Aix-en-Provence.

Le communiqué de la FED (il faut toujours aller à la source des informations) parle d'un prêt pouvant aller jusqu'à 200 milliards de dollars, non pas de cash, mais de Bons du Trésor américain.

Vous avez bien lu il ne s'agit en aucun cas de sempiternelle “injection de liquidités” encore une fois !

Je le répète, il ne s'agit pas de fournir des liquidités aux banques mais de prêter des Bons du Trésor pour 28 jours (sans doute reportable) en échange de la prise en pension de dettes de moins bonne “qualité” dont la valorisation est en chute libre constante entrainant des provisions récurrentes et donc une dégradation de bilan à chaque fois.

En fait la Réserve Fédérale répond à l'appel au secours de grandes banques dont les bilans sont désormais très fragilisés et qui n'arrivent plus ainsi à se financer car les garanties qu'elles présentent ne satisfont les contreparties prêteuses.





Le tour de magie est donc simple. La FED récupère des papiers dont tout le monde se méfie et prête des bons du Trésor ce qui a pour effet de renforcer le bilan de ces banques et, pense-t-on, ramènera la confiance.

Mais après les 28 jours que va-t-il se passer ? L'orage sera fini et tout le monde se refera confiance ? Pensez-vous raisonnablement que ce tour de passe passe suffise à ramener la confiance, car fondamentalement c'est un problème de confiance ?

La FED en détient actuellement pour environ 713 milliards dans son bilan. Ces 200 milliards ne sont donc pas une paille dans un bilan de 915 milliards.



Ce qui veut dire que la FED introduit dans son propre bilan un risque de crédit jusqu'alors inimaginable dans une banque centrale. Inmanquablement cette démarche mettra tôt ou tard à mal la notation de la dette souveraine américaine. Le risque sera alors celui de voir se créer une aversion des investisseurs pour les Bons du Trésor américains lesquels bons présentent en outre l'inconvénient majeur d'être libellés dans une monnaie qui se déprécie sans cesse.
Il devrait alors s'en suivre une augmentation des taux longs, précisemment le fléau qui plombe l'immobilier américain.

Pour ma part je ne pensais pas que les choses allaient prendre une telle ampleur en aussi peu de temps.

À mon sens la situation n'est plus grave mais gravissime !

Lorsque cette annonce a été faite je lisais précisément le rapport du dernier trimestre 2007 de la FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation) qui est l'organisme de surveillance et d'assurance bancaire.
Celui-ci brosse un tableau assez sombre de la santé des institutions financières tout en phase avec les développements que l'on constate en ce moment.

Les résultats, et c'est une surprise pour personne, sont au plus bas depuis 1991 pour certains.



Alors dans ces conditions est-il très étonnant que le directeur de la banque centrale de l'Inde, monsieur RANINA invité par le Lions Club de Bahrain le 5 mars dernier, conseille à ses compatriotes travaillant dans les pays du Golfe d'investir leurs économies durement gagnées dans ... l'or, l'euro ou la livre sterling mais surtout pas dans le dollar et encore moins, pour le moment, sur le marché actions indien ?
Selon lui le marché indien a connu récemment une entrée massive (45 milliards de dollars) de capitaux étrangers depuis l'été 2007 qui devraient se retirer aussi soudainement dès que la crise financière mondiale se déclenchera réellement.

Lorsqu'on connait la place du système financier américain dans le système mondial ... ça fait froid dans le dos !




Dans l'oeil d'un cyclone soudainement le temps s'éclaircit et le vent furieux jusqu'alors tombe donnant l'impression trompeuse et dangereuse que le plus gros est passé. Grosse erreur ... ce n'est que l'oeil du cyclone.

Je ne donne jamais de conseil, mais cette fois je vais vous en donner un : protégez vous, même les actifs apparemment sains seront emportés par la tourmente.

Bonne journée


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la métropole pour quinze jours ...

11 Mars 2008, 03:08am

Publié par kodamian

D'un bout du monde à l'autre, celà n'est pas si loin en fin de compte.
J'ai mis environ 27 heures pour rejoindre la métropole depuis wallis, en passant cette fois-ci par Nouméa et Tokyo.
Mais ce qui a changé , c'est qu'en bénéficiant d'une carte " flying blue " GOLD, acquise grace à plusieurs voyages en avion, j'ai pu découvrir les espaces réservés aux bénéficiaires de ses cartes dans les aéroports. 
Il s'agit de salons d'attente  où l'on peut disposer d'internet , de boisssons et de nourriture à volonté, en attendant l'avion. Il y a même la possiblité d'y prendre des douches , comme dans celui de Tokyo. Les fauteuils y sont très confortables et l'ambiance très détendue.
Qu'il s'agisse du salon de Nouméa ou de celui de Tokyo, c'était une ambiance différente que la salle d'attente où j'avais l'habitude de séjourner auparavant. Le temps es passé d'ailleurs très vite.

Mars en Métropole, ce n'est pas encore le printemps, il fait " froid " par rapport à wallis, bien sûr, mais c'est agréable néanmoins de retrouver un semblant de saison quand ce sont des températures beaucoup plus hautes qu'on a l'habitude d'avoir tout au long de l'année.

Le temps est nuageux à Paris, il y a beaucoup de vent, et d'ailleurs il y a eu un avis de tempête lancé hier soir.

15 jours, ce sera l'occasion de revoir famille et amis, et aussi de découvrir ou redécouvrir musées et expos .


Mais pour l'instant, le décalage horaire me maintient dans un état semi-"lethargique" et je sens que je ne vais pas réussir à veiller jusqu'à très tard dans la soirée. 
J'imagine que je me réveillerai vers 3h00 du matin pendant quelques nuits avant de retrouver le rythme normal.

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Naim Victoire des musiques du monde

9 Mars 2008, 12:37pm

Publié par kodamian

Je viens de consulter les nouvelles sur internet, et voici une nouvelle qui a retenu mon attention.
C'est  une nouvelle publiée par l'afp , dont je viens de faire un copier-coller en reprenant l'article à peu près dans son intégralité.

La chanteuse franco-israélienne Yael Naim et son percussionniste David Donatien ont remporté la Victoire de l'album de musiques du monde de l'année, samedi 08 mai 2008  au Zénith de Paris lors des 23e Victoires de la musique.
Le disque a été préféré à "La France des couleurs" (Idir), "L'Africain" (Tiken Jah Fakoly) et "D'ici ou d'ailleurs" (Soha).
Yael Naim, née à Paris en 1978 et qui a grandi en Israël, est l'une des grandes révélations de l'année. Bien que son album porte son nom, elle insiste sur le fait qu'elle forme un groupe avec son percussionniste, David Donatien.
La jeune femme a fait ses débuts dans la comédie musicale d'Elie Chouraqui et Pascal Obispo "Les dix commandements", créée en 2000, puis a sorti en 2001 l'album "In a man's womb", passé inaperçu.
En revanche, l'album "Yael Naim", fruit de sa collaboration avec David Donatien et paru il y a quelques mois sur le label indépendant Tôt ou Tard, lui a valu la consécration. Dans ce disque pop-folk bricolé dans son appartement, elle chante en hébreu, anglais et français. Ce disque est particulièrement connu pour l'une de ses chansons, "New Soul", récemment choisi par Apple pour la campagne de publicité mondiale de son nouvel ordinateur portable. L'album contient aussi une reprise de la chanson "Toxic" de Britney Spears.

Source : AFP


Voici une preuve de l'amitié entre la france et israel, dont le président est en visite officielle cette semaine en métropole.

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Dimanche à wallis : qu'y faire ?

9 Mars 2008, 11:43am

Publié par kodamian

dimanche à wallis :

Que fait-on le dimanche à wallis ?

C'est la question que se posent ceux qui viennent d'y arriver, et qui se demandent comment ils vont occuper leur week-end.

Alors il y a plusieurs options qui se présentent à eux ...

Tout d'abord, le dimanche, c'est " ahotapu " ou " jour interdit " en wallisien . je traduirais mieux en disant " jour sacré ". En effet,  une grande frange de la population est très religieuse, et se rend tous les dimanches matin à l'église, qu'il s'agisse de la cathédrale de Mata-Utu ou une des églises réparties sur l'ensemble du territoire.
Les catholiques représentent plus de 90% de la population, et sont très pratiquants.
D'ailleurs, j'avais été impressionné la première fois que j'avais vu le chauffeur de l'hopital, qui , m'emmenant au dispensaire, se signait chaque fois qu'il passait devant un cimetière. C'est une habitude et tout le monde la respecte.
A la toussaint, on repeint les tombes et on honore les défunts, en particulier ceux qui sont morts dans l'année.

Je vous invite à vous rendre à une messe, et en particulier un jour comme celui de Paques, car vous pourrez observer les coutumes dans les habits, les offrandes faites et les cérémonies de kava, danses , et repas offerts à cette occasion.

Mais le dimanche, on peut aussi aller à l'ilot, c'est à dire prendre un bateau , à moins que celà soit le sien, pour se rendre sur la barrière . Les ilots du nord peuvent être rejoints depuis Vailala, ceux du sud depuis Gahi ou Halalo. Mais des pêcheurs peuvent vous emmener moyennant un prix négocié à l'avance.

L'ilot, c'est l'occasion de s'éloigner un peu du rythme de la semaine, et de profiter de moments agréables, de bons repas et de belles plages de sable blanc. Je recommande en particulier Faioa et nukuloaloa au nord.

Pour ceux qui disposent de bateaux, c'est l'occasion de parties de peche.

Le dimanche, on peut aller se ballader sur la cote oùest de l'ile, aller au fort tongien ou sur les belles plages qui le jouxte. 

Le dimanche, on peut se joindre aux wallisiens qui jouent pendant des heures à la pétanque.

Le dimanche, bien sûr, on peut tout simplement rester à la maison et lire ou regarder la télévision ou se baigner à Kului... La bibliothèque en face de l'IUFM dispose de livres  laissés par des profs. ou donnés par d'autres personnes. La plage de Kului est accessible par la cote de RFO ( Matalaa  ), en tournant à gauche avant la réservoir d'eau.

Le dimanche en général, les gens organisent des réunions entre amis.

Voici quelques idées pour " meubler " vos dimanches ...

Mais je suis sûr qu'il y en a bien d'autres et vous ne vous ennuyerez jamais.

Alors, bon dimanche.




Le dimanche,

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1 dollar = 4.25 francs français . 1 euro = 1.54 dollar us

7 Mars 2008, 18:27pm

Publié par kodamian

Il y avait à l'époque une monnaie qui s'appelait le franc français.

Mais cette monnaie n'a plus cours aujourd'hui.

Si cette monnaie existait toujours, 1 us dollar vaudrait 4.25 francs français.

Enfin, peut être y aurait-il eu pas de dévaluation par rapport aux autres monnaies européennes, si la monnaie unique européenne n'existait pas.



Mais nous en sommes à l'euro. Et il y a stabilité en Europe du fait que nous avons la même monnaie à Berlin, à Madrid, à Paris, à Rome, à Luxembourg , à La Haye , etc..


Aujourd'hui, 1 euro = 1.54 us dollar.

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Au talalogo hier soir, on parle de monopole d'importation...

5 Mars 2008, 13:15pm

Publié par kodamian

Monopole d'importation : info ou intox ?

Il est vrai que les magasins ici à wallis ont pour la plupart un seul fournisseur. 

Certains petits commerçants affirment qu'ils n'ont pas le choix d'approvisionnement, et que si , malencontreusement, ils leur arrivaient de commander à quelqu'un d'autre, ils se verraient alors bannis par le grand importateur de l'ile. Plus aucune livraison ... incroyable, mais vrai !

Soyons sûr qu'il y a bien une  commision chargée de la concurrence et que cette dernière  fera toute la lumière sur cette histoire " abracadabrantesque " de Monopole . 



" Des batons dans les roues " , pouvait-on entendre hier soir de la part d'un importateur qui a pignon sur rue, mais s'il pouvait nous préciser de quel genre de " tokotoko " ( baton en wallisien ) il s'agit , on en aurait pour sa faim .. et pour sa soif , parce que parler beaucoup , ça assèche le gosier .


Quel monopole pourrais-je citer à wallis et futuna ?

Ah oui, Aircalin !

C'est la seule ligne qui relie wallis à l'extérieur.

Mais la concurrence , où est - elle ?

Eh bien, il faut se poser les bonnes questions . Alitalia n'a aucun intérêt à relier wallis et nouméa , Aeroflot non plus , Aero mexico encore moins . Pourquoi pas Qatar airways ou Emirates, avec leur nouvel A 380 ??? 
Il faudrait leur proposer déjà , en soulignant le bénéfice à faire sur une ligne wallis-nadi à 660 euros l'aller - retour pour 1 heure de vol . Mais l'A 380 , pourrait-il se poser sur notre petit territoire ? C'est là qu'est la question .
Tant qu'à construire une piste à Vélé, faudrait demander qu'ils agrandissent alors celle d'Hihifo.

Autre monopole , canal satellite , à 6500 xpf ( 55 euros ) l'abonnement basique.

Pourquoi par exemple d'autres bouquets ne s'installerait pas comme SKY  TV  ou une des nombreuses compagnies de Robert Murdoch, qui semblent pouvoir être captées par nos voisins du sud, je veux dire, les fidjiens ?

Ah oui, c'est en  " faka pilitania "  , c'est à dire en anglais .. Mais justement, celà permettrait à nous tous d'en connaitre un peu plus sur la langue , non pas de Shakespeare, mais de WALLIS , nom du célèbre navigateur dont on attribue jusqu'à aujourd'hui le nom à notre petit   FENUA.

Bon, en tout cas, une chose est décidée ...

J'irai voir chez CAP CENTER , le nouveau grand magasin du centre, ce qu'il y a à acheter et j'en ferai un petit résumé.

Ah , au fait, une nouvelle surface va ouvrir très prochainement, c'est en face d'UVEA SHARP, et parait-il , selon les rumeurs du lagon, qu'il y aura plein de bonnes affaires à faire ... et à defaire .

A bon entendeur, salut  ( je réécris cette expression pour un pote, qui comprendra ). ( enfin j'espère, parce que je lui ai expliqué le sens exact de la phrase qu'on avait omis de lui enseigner au lycée de Mata-Utu ).

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Proche-orient :4 mars 2008 - Khaled Asmar | Mediarabe.info

5 Mars 2008, 12:45pm

Publié par kodamian

Israël aurait renforcé ses positions aux frontières avec le Liban et la Syrie.

Plusieurs sources font état, ce matin, d’informations alarmistes qui convergent sur l’imminence d’une opération militaire d’envergure dans la région. Au moment où le blocage politique est total au Liban et la crise de confiance entre Arabes et Syriens menace la tenue du sommet arabe de Damas, et au moment où la Syrie continue d’alimenter et d’exploiter la crise à Gaza pour camoufler son ingérence au pays du Cèdre, les informations alarmistes prennent toute leur ampleur.

 

En effet, un site libanais croit savoir, ce matin, que les responsables politiques et militaires libanais ont été informés du « déploiement de huit régiments israéliens sur la frontière israélo-libanaise et israélo-syrienne (dans le Golan), où une vingtaine de bulldozers ont préparé le terrain pour les blindés ». Le même site ajoute que « les réservistes israéliens ont reçu des instructions par des minimessages (SMS) ».

Selon la même source, « la marine israélienne a dépêché trois destroyers dans les eaux internationales, au large du Liban, et que les batteries de missiles anti-missiles de type “Patriot” ont été déployées dans l’Etat hébreu où les autorités ont mis au point toutes les mesures de protection et de sécurisation des populations civiles ».

Enfin, on apprend de même source que « l’armée syrienne et le Hezbollah surveillent cet activisme militaire israélien soutenu. Les responsables du parti chiite libanais auraient évacué leurs familles en Syrie pour les mettre à l’abri », comme ils l’avaient fait quelques jours avant l’opération du 12 juillet 2006, qui avait provoqué la guerre des 33 jours. Cette évolution intervient au moment où des informations circulent au Liban sur l’imminence d’une opération d’envergure que le Hezbollah pourrait mener pour venger Imad Maghnieh.

D’autre part, le quotidien saoudien « Al Watan » affirme ce matin que la tension est très palpable dans la région. La population du Sud-Liban craint une reprise de la guerre et commence à quitter la bande frontalière vers le nord. Plusieurs familles se sont déjà réfugiées dans la région de Saïda, alors que d’autres ont demandé à leurs proches établis à Beyrouth de préparer des logements qui pourraient les héberger, au cas où la situation se dégradait.

Les plus pessimistes s’appuient sur les appels à la prudence lancés par Riyad et Koweït aux ressortissants saoudiens et koweïtiens au Liban, et sur l’évacuation des familles des diplomates saoudiens à Beyrouth, pour donner à leur alarmisme tout le sens du mot. Ils estiment que « la résolution 1803 du Conseil de sécurité de l’ONU, votée hier lundi (3 mars 2008) par 14 des 15 membres du Conseil (l’Indonésie s’est abstenue), et instaurant de nouvelles sanctions contre l’Iran, serait l’un des derniers actes qui précèdent l’intervention militaire contre la République islamique ». Or, une telle intervention, ajoutent-ils, aura ses lourdes répercussions sur le front israélo-libanais et israélo-syrien. Ce qui explique le déploiement massif de Tsahal dans la région.

D’autres points de vue, moins pessimistes, estiment au contraire que les agissements israéliens et américains, notamment l’arrivée du destroyer USS Cole au large du Liban, ne sont que des gesticulations destinées à mettre en garde le régime syrien contre sa politique suicidaire et contre son entêtement à s’ingérer dans les pays voisins (Liban, Irak, Palestine) et à y répandre l’instabilité, seul moyen pour assurer sa propre survie. C’est ainsi que les adeptes de cette théorie expliquent le silence complice des pays arabes à l’égard du massacre israélien à Gaza.

Contrairement à leurs populations, les régimes arabes sont en effet conscients que « les Palestiniens subissent les conséquences de leur propre politique, et récoltent les fruits des tirs de roquettes commanditées par Damas ». Bien que la réaction israélienne ait été démesurée et disproportionnée, et qui n’aurait été suspendue que le temps de recevoir Condoleeza Rice à Jérusalem et à Ramallah, aucun pays n’a pu réellement la critiquer. Au contraire, les Monarchies du Golfe, l’Egypte et la Jordanie sont particulièrement remontées contre la Syrie, à qui elles reprochent d’utiliser les Palestiniens comme « chair à canon ». Elles menacent de boycotter le sommet arabe qui est prévu à Damas à la fin mars.

Or, l’échec de cette réunion sonnera le décès effectif de la Ligue arabe, déjà « cliniquement morte », mais menacera aussi le régime du Baas syrien, particulièrement isolé et tétanisé par la perspective du Tribunal pénal international qui doit juger les assassins de Rafic Hariri. L’opinion publique soupçonne unanimement le régime syrien de vouloir incendier sciemment la région, pour négocier son immunité devant le Tribunal, et fait monter la tension à cette fin.

Les gesticulations militaires et les démonstrations de forces débouchent-elles sur un conflit militaire régional ? ou au contraire, préparent-elles le terrain aux négociations ?

La question est d’autant plus posée que Damas ne s’oppose pas à l’idée d’une rencontre avec les Israéliens à Moscou, et exploite Ankara comme « boite aux lettres » pour s’ouvrir sur Tel-Aviv. Reste à savoir si les Israéliens acceptent cette main tendue, et s’ils sont prêts à assumer la poursuite du « harcèlement » syrien par Hamas et Hezbollah interposés, et enfin, s’ils font encore confiance à un régime qui a érigé le mensonge en mode de gouvernance ? Or, si les négociations israélo-syriennes reprenaient, comment Damas gérera-t-il la question du Hezbollah et son alliance avec l’Iran ? Comment se débarrassera-t-il des dirigeants palestiniens qu’il a hébergés et exploités ? Cette perspective renforce les soupçons qui pèsent sur les Services syriens dans l’assassinat du chef militaire du Hezbollah, Imad Maghnieh. Son élimination à Damas serait ainsi un premier acompte versé pour acheter la pérennité du régime.

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Où achètent nos importateurs ?

3 Mars 2008, 14:57pm

Publié par kodamian

On trouve un certain nombre de produits sur le territoire, mais d'où viennent-Ils ?

Pour ce qui est de l'alimentaire, c'est principalement de Nouvelle-Calédonie que sont acheminés les produits de l'alimentation. Ils viennent pour une grande partie de métropole, mais peuvent également provenir d'australie ou de nouvelle-zélande.

Pour ce qui est du reste, on a des importateurs sur le territoire qui vont eux-mêmes dénicher les bonnes affaires.
Ils se rendent en Thailande, en Corée du Sud, en Indonésie, en Chine, et , plus près de nous, aux iles Fidji, où les prix auxquels ils pourront acheter leur marchandise leur permettra de faire de belles marges , mais aussi de nous satisfaire au niveau des prix.

La concurrence est saine d'ailleurs, car elle permet d'équilibrer le marché et de faire baisser les prix. Encore faut-il qu'il n'y ait pas d'entente comme on le voit si souvent en métropole dans des secteurs où les prix auraient dû baisser ( cout de la minute de téléphone portable par exemple ).

Avec plus de magasins, on a plus de choix , des prix plus bas et aussi plus de promenades à faire ...!


J'étais étonné ces jours-ci de voir sur un emballage d'anti-moustiques le mot " anti-nyamu ". Car en wallisien, on dit " namu " pour le moustique. Or, il est vrai que les langues polynésiennes proviennent du proto-malais, et qu'il y a des simitudes entre les langues.

Namu en wallisien, Nyamu en indonésien , le principal, c'est que le produit tue les moustiques ... avant que ceux ci nous tuent !

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