Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
  le blog kodamian

17 octobre 2020 Kerikeri et le marché du Samedi .Balade le long de la rivière

20 Septembre 2021, 15:55pm

Publié par kodamian

Je suis arrivé hier vendredi 16 octobre à Kerikeri et j'ai visité le marché " fermé " mais aujourd'hui samedi, c'est le marché hebdomadaire avec beaucoup plus de stands et c'est pourquoi j'ai décidé d'y revenir le matin.

 

On trouve les fruits de saison et on est actuellement en octobre et on trouve bien sûr des fraises ! 

Le vin est bien sûr présent en Nouvelle-Zélande avec beaucoup de vignobles à travers le pays, et les habitants sont devenus des connaisseurs et des amateurs.

La région de Kerikeri est une région horticole importante. On trouve en conséquence sur le marché des fleurs et des plantes en vente.

 

Les vergers d'orangers sont nombreux autour de Kerikeri.

Je pars ensuite en vélo faire une balade le long de la rivière où on trouve plusieurs chutes d'eau.

 

 

 

 

 

 

 

 Ces chutes d'eau portent le nom de Rainbow waterfalls et on peut en effet voir un arc en ciel à proximité des chutes.

Il est important de toujours nettoyer ces chaussures pour éviter de propager des parasites qui peuvent être dangereux pour la flore locale et en particulier les Kauris.

 

 

Voici un rappel de la carte de la région de la baie des Iles au nord-est de l'ile du nord.

La Baie des Iles est ouverte vers l'océan pacifique et les bateaux qui traversaient cet océan y arrivèrent ainsi plus facilement car l'endroit était situé au nord. C'est à Russell qu'on appellait " HellHole " ou Trou du diable que les baleiniers venaient s'approvisionner et que les équipages se reposaient et étaient changés quand ils revenaient de campagne de chasse à la baleine qui pouvaient durer plusieurs mois. Ces chasses à la baleine avaient plutot lieu au sud du pays et aussi , entre l'ile du sud et Stewart Island.

 

Les villes qui eurent une importance dans l'Histoire des premiers européens dans la région furent : Russell qui devint la première capitale de la Nouvelle-Zélande, Kororipo pour son entrée vers les terres de l'intérieur et les missions comme celle de Waimate, Paihia avec sa mission  et Waitangi pour le traité signé en février 1840 entre les Chefs Maoris et les Représentants de la couronne britannique.

Sur ces photos ci-dessus et ci-dessous, on peut voir les pirogues de maoris qui rentrent et qui sortent dans l'inlet de Kerikeri.

C'est d'ici que des raids sont partis vers le Sud pour attaquer d'autres tribus maories. La vente de fusils aux Maoris en échange de denrées alimentaires et d'eau a entrainé un déséquilibre entre tribus. Et c'est ainsi qu'eurent lieu des carnages lors des attaques.

Je trouve en Nouvelle-Zélande d'excellents cafés et de bonnes patisseries, alors  j'en profite ...

 Je rentre ensuite à l'auberge pour le repos du guerrier.

Voir les commentaires

17 octobre 2020 Le drapeau national maori dessiné en 1989

20 Septembre 2021, 15:52pm

Publié par kodamian

 

Voir les commentaires

16 octobre 2020 Kerikeri mérite le détour

20 Septembre 2021, 14:15pm

Publié par kodamian

Je ne suis passé il y a quelques jours que quelques heures à Kerikeri, mais je décide cette fois-ci d'y rester quelques jours. Je me rends donc en vélo de Paihia à Kerikeri et il me faut environ 90 minutes pour y arriver. J'ai réservé dans le même backpacker que mes amis cyclistes qui y sont arrivés il y a 48 heures.

La première chose qu'on aperçoit en arrivant à proximité de la ville est le nombre de vergers qu'on y trouve. On trouve ici beaucoup d'agrumes mais également de la vigne ainsi que d'autres arbres fruitiers.

Mais rapidement un autre endroit à l'entrée de la ville attire mon attention et en regardant les prochaines photos, vous comprendrez pourquoi.

Une chocolaterie avec un magasin qui vend les productions locales. Il y a d'ailleurs dégustation des différents chocolats et je dois dire que je craque en tant que grand gourmand devant l'Eternel.

 Voici brochure et les coordonnées de l'endroit, ce qui vous permettra de passer vos commandes.

Juste en face, on trouve un grand marché qui est ouvert tous les jours, mais le samedi est le jour où il devient beaucoup plus important avec de nombreux étals à l'extérieur.

On y trouve de nombreux cafés et restaurants ainsi que des galeries d'artisanat permettant de découvrir les artistes locaux.

 

 

Un peu plus loin en allant vers le centre de Kerikeri, on trouve un magasin qui vend du miel et que l'on reconnait depuis la route par son enseigne originale en forme d'abeille géante. D'après l'enseigne, on y trouve la plus grande ruche de toute la Nouvelle-Zélande.

 

Je poursuis ma balade et je me dirige alors vers le village historique de Kororipo.

On y trouve le village maori de Rewa, la maison et les jardins de Kemp ainsi que le magasin en pierres de 2 étages.

Les 2 prochaines photographies vous permettent de plus près d'avoir un aperçu de ce qu'il est possible de voir dans ce village.

 

Je pose mon vélo et commence la visite par l'Eglise Saint John. La première église date de 1823, mais une nouvelle vit le jour en 1829, remplacée par l'église qu'on voit aujourd'hui datant de 1878.

 

Voici le Stone Store qui est la plus vieille maison en pierres de 2 étages du pays.

 

On y trouve des centaines de produits différents, référence historique aux premiers colons qui venaient y chercher tout ce dont ils avaient besoin pour leur vie quotidienne.

Puis je continue la balade et je vais voir la maison Kemp et ses jardins.

 

 Sur cette photo ci-dessous, on voit donc le centre du village où arrivaient les canoes depuis la mer par la rivière sous le contrôle de la forteresse qui surplombait l'endroit. On voit donc le Magasin en Pierre qui est le batiment de 2 étages et à sa droite la Maison Kemp.

La Mission que l'on trouve ici date de 1820 et Hongi Hika était le Chef Maori de l'endroit. La guerre des mousquets faisait rage et qu'ils aiment celà ou non, les Missionnaires présents y étaient totalement impliqués. Le contrôle d'Hongi était si ferme que les palissades de la Forteresse maorie appelée usuellement " Pah " avaient été otées. A la place, le fort qui n'était donc plus protégé était un endroit important de rencontres pour les gens importants des communautés. Le nom de " Kororipo " ( tourbillon ) avait été donné en référence aux débats qui s'y tenaient.

Voici une représentation du la forteresse maorie appelée " Pah ".

 La position stratégique du Pah de Kororipo était stratégique car qui contrôlait le Pah pouvait contrôler le passage entre la mer et la terre pour tous ceux qui voyageaient en canoe vers cet ilot de Kerikeri.

 Un peu d'Histoire : 

Ngati Miru vivait sur cette terre depuis des siècles suivant l'exil depuis Waimate dans les terres. Aux environs de 1770, une alliance des tribus de Ngapuhi les en chassa et 2 frères, Auha et Whakaaria, prirent cette forteresse. A cette époque, la forteresse était très bien fortifiée. 

C'est plus tard le petit-fils de Auha qui commanda l'endroit, dont le nom était Hongi Hika.

 Cette voie d'eau permettait le passage des canoes de la mer vers l'inlet de Kerikeri.

Voici une des parties de la palissade de fortification .

Histoire avec les 3 fiches suivantes :

Avant 1810

Une place de richesses : Des générations de Maoris profitèrent des richesses importantes de la Baie des Iles et leurs activités dépendaient de la géographie des lieux, du climat ainsi que de la vie sauvage. L'Ilot de Kerikeri avait ainsi une grande importance car ses eaux étaient riches en produits de la mer et le sol volcanique était fertile permettant de bonnes récoltes.

A cette époque, les Maoris voyageaient régulièrement le long des cotes de Nouvelle-Zélande et l'entrée  ou la sortie par Kerikeri pour les voyageurs  était excessivement important pour pénétrer dans les terres vers Waimate et Taiamai.

Ngati Miru et Wahineti étaient les tribus qui dominaient la région, jusqu'à ce que Ngapuhi conquiert par les armes cet endroit. L'ilot de Kerikeri plus tard devint un endroit d'où partirent les guerres des canoes de Ngapuhi.

Les campagnes qui débutèrent ici eurent des effets dramatiques sur les frontières des tribus au niveau de l'ile du nord et l'ile du sud de la Nouvelle-Zélande.

1810-1890 :

Des relations difficiles...

Alors que Kororareka ( Russell ) à proximité de là gagnait en notoriété comme une ville sans loi de baleiniers et aventuriers en tout genre, Kerikeri devint le lieu de domicile d'une communauté de bonnes familles provenant de la Church Missionnary Society issue de Grande-Bretagne.

Les tribus se battaient entre elles pour le pouvoir de commercer qu'à la fois les baleiniers et les missionnaires apportaient de par leurs présences, et ainsi la politique dans la Baie des Iles était assez complexe.

Ce fut en 1819 que le Chef Ngapuhi Hongi Hika assura la sécurité de l'endroit sous son contrôle où se trouvait la deuxième installation la plus importante de la Church Missionnary Society en Nouvelle-Zélande.

En 1835, une confédération des chefs du Nord déclara l'Indépendance de la Nouvelle-Zélande, assurant leur souveraineté sur tout le pays. A ce moment-là, le européens visitaient encore peu la région. Beaucoup des expéditions étaient composées de scientifiques, comme celle du HMS Beagle, qui avait à son bord le jeune naturaliste Charles DARWIN.

En 1840, le traité de Waitangi fut signé à 20 kms de là. Après celà, les colons européens à la recherche de terres bon marché et d'une nouvelle vie commençèrent à arriver et à la fin des années 1890, la plupart des terres de la Baie des Iles étaient devenues des terres agricoles.

1890 - aujourd'hui

La région de la baie des iles commença à attirer les touristes. En 1920, Zane Grey, une auteure américaine réputée, y séjourna et écrivit le livre " Contes de l'Eldorado de Angler " qui popularisa dans le monde entier la région de  la baie des iles comme une destination pour la peche.

Russell et Paihia devinrent des villes de villégiatures, attirant les tourismes de l'étranger ainsi que les locaux. Paihia était la base pour explorer Waitangi alors qu'à Kerikeri, l'horticulture se développait. Le sol fertile et le climat serein, appréciés au départ par les Maoris, continuaient d'attirer pour le commerce et la vie communautaire. La signification historique de cette terre a toujours résonné avec les visiteurs, et celà continue aujourd'hui avec surtout ceux dont les ancêtres ont vécu ici.

 

Voir les commentaires

15 octobre 2020. Kawakawa : Les toilettes et le Musée d'Hundertwasser.

20 Septembre 2021, 11:56am

Publié par kodamian

 

 

 vous pouvez consulter sur wikipedia sa biographie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedensreich_Hundertwasser

Friedrich Stowasser, plus connu sous le nom de Friedensreich Hundertwasser Regentag Dunkelbunt, né le  à Vienne en Autriche et mort à bord du Queen Elizabeth 2 le , est un artiste autrichien, également architecte.

 

Biographie[modifier | modifier le code]

Hundertwasser est l’enfant unique d'un technicien, alors au chômage, Ernest Stowasser et de sa femme Elsa. Son père décède treize jours après son premier anniversaire à cause d’une appendicite, et sa mère est obligée de s'occuper seule de son fils1. À l’âge de six ans, il entre à l'école Montessori à Vienne pour un an. Là, les enseignants d'art lui attestent « un sens inhabituel pour les formes et la couleur ». Bien que de mère juive, Hundertwasser est baptisé dans une église catholique en 1935. Après l'annexion de l'Autriche en 1938, il participe aux groupes de la Jeunesse hitlérienne, toujours à l'initiative de sa mère, inquiète par la montée du nazisme, et qui souhaite le protéger de l'antisémitisme. Pour ne pas attirer l’attention dont les élèves d’écoles privées de la bourgeoisie viennoise étaient l'objet, Elsa Stowasser envoie désormais son fils à l'école publique à Vienne.

Une grande partie de sa famille maternelle a été exterminée pendant la deuxième guerre mondiale.

En 1946, alors qu'il travaille chez un agriculteur pour subsister, il est frappé par les couleurs de la terre et des cultures, ce qui renforce sa vocation de peintre. Cependant sa mère souhaite qu'il apprenne un métier utile.

Après avoir obtenu son baccalauréat en 1948, il assiste à la session d'hiver 1948/49, pendant trois mois, de l'Académie des beaux-arts de Vienne. Là, il commence à signer ses travaux avec le pseudonyme Hundertwasser. Il abandonne ses études peu après. Il voyage en avril 1949 pour la première fois en Italie où il fait connaissance avec l'artiste français René Brô. En 1950, ils vont ensemble à Paris. Puis Hundertwasser fait d’autres voyages au Maroc (premier semestre 1951), en Tunisie, en Sicile et la « Bürgeralm » (refuge) à Aflenz en Styrie.

Hundertwasser a fait ses premières expositions en 1952 et 1953 dans sa ville natale de Vienne, puis en 1955 à Milan, en 1954 et 1956 à Paris.

En 1957, Hundertwasser acquiert une ferme dans le Perche, à Saint-Jean-de-la-Forêt.

En 1958, il épouse Herta Leitner à Gibraltar. Ils divorcent deux ans plus tard1.

En 1960, Hundertwasser voyage au Japon, où il reçoit en 1961 lors de la 6e exposition internationale d'art de Tokyo, le prix Mainichi. En 1962, il épouse la Japonaise Yuko Ikewada, mais le mariage est rompu en 1966. Au Japon, il commence à utiliser le nom Friedensreich (Royaume de la Paix).

Après sa ferme dans le Perche, Hundertwasser achète en 1964 la « Hahnsäge » une scierie mise hors service dans une région forestière et peu peuplée en Basse-Autriche. Loin de toute bousculade et au sein de la nature, il aménage un nouveau logement. En 1964, ses œuvres sont présentées à la Documenta III de Kassel, dans le département de peinture.

De 1969 à 1971, il travaille avec le réalisateur Peter Schamoni pour le film Hundertwasser Regentag. Celui-ci est, après le film documentaire Hundertwasser par Ferry Radax (1966), le deuxième film sur la vie de l'artiste. Le film évoque un vieux cargo, avec lequel Hundertwasser a navigué de la Sicile à Venise en 1968 et qui est devenu après des rénovations le Regentag (« jour de pluie »).

En 1972, Hundertwasser fonde la Grüner Janura AG, une société anonyme, en Suisse (renommée Namida AG en 2008) par laquelle il gère ses droits d’auteurs littéraires et artistiques.

Dans les années 1970, Hundertwasser acquiert dans la baie des Îles à la pointe de l'île nord de Nouvelle-Zélande plusieurs propriétés, qui comprenaient avec une surface totale de 372 ha, toute la vallée Kaurinui. Là, il réalise son rêve de vivre et travailler dans la nature et entre autres dans la « bottle house » qu'il avait conçue. Il y installe des capteurs solaires, une roue à eau et une station de traitement de l’eau par les plantes ce qui lui permettent de vivre en autarcie. Il expérimente aussi la technique des toits plantés.

Hundertwasser conçoit une des affiches d'artistes éditées pour les Jeux olympiques d'été de 1972 à Munich.

En 1975, il commence à concevoir des timbres-poste. En 1982, il redessine la façade de la fabrique « Rosenthal ». Un an plus tard, la première pierre de la maison d'Hundertwasser à Vienne est posée et le 17 février 1986 les locataires en reçoivent la clé. Dans les années suivantes, Hundertwasser travaille pour de nombreux projets architecturaux en Allemagne, en Autriche, en Suisse mais aussi en Californie, au Japon et en Nouvelle-Zélande.

En 1979, il acquiert, par l’intermédiaire de sa société suisse, le Giardino Eden à Venise, un grand jardin de 15 000 m2 avec palazzo.

En 1984, il participe activement à l'occupation de Hainburger Au, une réserve naturelle du Danube, pour empêcher la construction d'une centrale électrique. Il a même déchiré devant la caméra son Grand Prix de l’État autrichien.

En 1993, il est appelé pour concevoir le design artistique de la nouvelle édition du dictionnaire d'école latin-allemand Der kleine Stowasser (de) de Joseph Maria Stowasser, « comme don à la jeunesse » selon la formulation de l'éditeur. Cette édition jubilé du dictionnaire a été diffusée dans les pays germanophones et publiée en 1994 en exactement cent versions différentes (par variations de couleur). Le dictionnaire est encore ainsi aujourd'hui.

En 1995, la Hundertwasser Bibel est publiée. Ce livre de 1688 pages est illustré avec trente collages, créés spécialement pour cette édition, et une cinquantaine d’œuvres d'art. Les couvertures sont faites à la main et chacune est unique.

Friedensreich Hundertwasser meurt le 19 février 2000 lors de son retour d'Europe pour la Nouvelle-Zélande à bord du Queen Elizabeth 2 à cause d’une insuffisance cardiaque. Selon son dernier désir, il est enterré dans sa propriété en Nouvelle-Zélande sous un tulipier, sans cercueil, nu et enveloppé dans un « Koruflagge », le drapeau qu'il a conçu pour la Nouvelle-Zélande.

D’après son manager, Joram Harel, Hundertwasser était sans aucune fortune.

Voici quelques photos que j'ai prise au cours de cette journée à Kawakawa.

Entrée du patio vers le Musée

 Le Musée a été ouvert au cours de l'année 2020 à Kawakawa.

 Les courbes et les couleurs

 Ce sont les toilettes de Hundertwasser à Kawakawa qui sont célèbres dans le monde entier.

Hundertwasser en compagnie de sa mère 

 Allemagne : Darmstadt-Waldspirale

Osaka : oeuvre de l'artiste 

 

Oeuvres en Nouvelle-Zélande 

Architecture selon Hundertwasser

Pour Hundertwasser, il y a conscience que nos déchets vont constitue l'engrais pour les plantes.

 Un concours avait été organisé pour un nouveau drapeau national en Nouvelle-Zélande, et voici ce qui était proposé par Hundertwasser.

A travers la connaissance vient la lumiére ( Ma te Mohio ka marama )

1973 Milan 

Quoi de plus agréable que de prendre un bain dehors dans la baie des iles en Nouvelle-Zélande

les 5 couches qui nous composent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà ce qu'écrit Hundertwasser : Il n'y a pas d'enfer dans la nature, il y a seulement l'enfer chez les hommes.

Un jour de pluie, les couleurs commencent à briller... C'est le genre de jour au cours desquels je peux travailler. Quand il pleut, je suis content... Je sais que ma journée commence bien ..

 

Le paragraphe suivant provient du site sur wikipedia concernant l'artiste.
Architecture[modifier | modifier le code]
 
Fernwärme (l'incinérateur), Vienne, 1988-1997.
 
Village thermal de Blumau.
Autriche
  • Maison Hundertwasserhaus à Vienne, 1983-1985.
  • Mierka Getreidesilo Krems, 1982-1983.
  • Musée Rupertinum, Salzbourg, 1980-1987.
  • Église St.-Barbara, Bärnbach, 1987-1988.
  • Musée du village de Roiten, 1987-1988.
  • Fabrique de textile Rueff, Muntlix, 1988.
  • Fernwärme (l'incinérateur), Vienne, 1988-1997.
  • Aire d'autoroute, Bad Fischau, 1989-1990.
  • Kunst Haus Wien (musée Hundertwasser), Maison de l'art, Vienne, 1989-1991.
  • Maison de Hundertwasser-Krawina, Vienne, 1990-1991.
  • Brunnenanlage, Zwettl, 1992-1994.
  • Pavillon de la DDSG, Vienne, 1992-1994.
  • SpiralflussTrinkbrunnen, Linz, 1993-1994.
  • Hôpital de Graz, 1993-1994.
  • Village thermal de Blumau (la Styrie), 1993-1997.
  • Usine à Zwischenwasser.
 
Lycée Martin-Luther à Lutherstadt Wittenberg.
 
Citadelle verte de Magdebourg.
Allemagne
  • Fabrique Rosenthal, Selb, 1980-1982.
  • Halte-Garderie, Francfort, 1988-1995.
  • « Dans les prés », Bad Soden am Taunus, 1990-1993.
  • « Habiter sous la pluie », Plochingen, 1991-1994.
  • Lycée Martin-Luther à Lutherstadt Wittenberg, 1997-1999.
  • Maison à Plochingen, 1999.
  • Résidence Waldspirale, Darmstadt, 1998-2000.
  • Gare d’Uelzen2, 1999-2000.
  • Citadelle verte de Magdeburg, 1999-20003.
  • Maison Ronald McDonald d'aide aux enfants, à Essen.
  • Kunst Haus et Kuchlbauer Turm, Abensberg.
Japon
  • Countdown 21st Century Monument for TBS Tōkyō, 1992.
  • Kid's Plaza Ōsaka, 1996-1997.
  • Maishima Incineration Plant Ōsaka, 1997-2000.
  • Maishima Sludge Center Ōsaka, 2000.
É.-U.
  • Quixote Winery Napa Valley, 1992-1999.
Israël
  • SpiralflussTrinkbrunnen II, Tel Aviv, 1994-1996.
Suisse
Nouvelle-Zélande
  • Toilette publique Kawakawa, 1999.

Galerie[modifier | modifier le code]

Ville de Bärnbach[modifier | modifier le code]
Village de Roiten (Rappotenstein)[modifier | modifier le code]
Maison Hundertwasser à Vienne[modifier | modifier le code]
Autres travaux[modifier | modifier le code]

Certaines peintures d'Hundertwasser reproduites sur timbres-poste ont été peintes par l'artiste spécialement pour être reproduites sur ce support4, qui le fascinait : en 1983, il affirme que « pendant longtemps, je fus malheureux et insatisfait parce que les tableaux que je peignais ne pouvaient soutenir la comparaison avec les timbres5 ».

Ses premières œuvres originales pour timbres sont émises en Autriche en 1975 et au Sénégal en 19796. Dès 1975, Hundertwasser a travaillé une vingtaine de ces timbres avec le graveur autrichien Wolfgang Seidel7

Voir les commentaires

15 octobre 2020 Opua - Kawakawa en vélo pour aller visiter le musée Hundertwasser.

20 Septembre 2021, 11:11am

Publié par kodamian

 

 

 

 

Taumarere est l'occasion pour moi de m'intéresser à l'histoire de la région. C'est la découverte de charbon ,qu'on appelle " l'or noir " , dans la région autour de Kawakawa, qui a attiré des milliers de personnes dans ce coin reculé.

Beaucoup sont partis ensuite vers Kawakawa depuis cette banlieue de Taumarere, qui à une époque donnée avait son propore moulin à farine et à mais, un moulin pour le lin ainsi qu'une école et qu'une église, avec une population de 1500 habitants.

La mine de charbon fut ouverte en 1867, et le charbon était initialement acheminé par des wagons tirés par des chevaux sur une voie construite en bois jusqu'à l'accès à Taumarere et de là acheminé par des barges sur l'eau jusqu'à Opua puis transbordé sur des bateaux qui traversaient l'océan.

La voie en bois fut remplacée par la ligne actuelle en 1867 faisant de cette ligne la première à être ouverte sur l'ile du nord.  Le premier moteur fut le Puffing Billy et malgré beaucoup de problèmes qui obligèrent à en changer après moins d'un an, le train transporta tout d'abord des passagers en 1871 et fut le premier train  transporteur de passagers de l'ile du nord. La ligne fut modifiée entièrement en 1877. 

La mine ferma en 1912 et la brève vie de Taumarere comme gare déclina depuis 1884 quand la ligne de chemin de fer de Kawakawa à Opua fut achevée, et qu'Opua connut un développement avec un port important.  Mais le chemin de fer continua ses activités en transportant au cours des années 1920 la viande et le beurre depuis les usines de congélation de Moerewa et ce jusque dans les années 1980 après quoi l'usage ne fut plus qu'un usage de transport de fret et de touristes.

Le dernier train NZR circula en 1971 après quoi la ligne connut des hauts et des bas. Elle fut fermée définitivement en 2000 en raison de sa vétusté.

Un fonds de développement de la Baie des Iles a réouvert cette ligne historique vers Taumarere en raison du développement touristique. Le but est de restaurer la totalité de la ligne jusqu'à Opua en parallèle avec le " Pou Herenga Tai Cycle Trail " ( voie pour les vélos que j'ai justement utilisé ).

Voici la carte de la région : je viens de Paihia en vélo et je vais vers Kawakawa, ce qui constitue une balade d'environ 15 kilomètres ( Paihia - Opua : environo 5 kms )

Le chemin de fer traverse quelquefois des ruisseaux et des ponts ont dû être construits en conséquence.

J'arrive enfin dans la ville de Kawakawa où je suis venu déjà à plusieurs occasions.

C'est dans le prochain article que je vais parler d'Hundertwasser et de son Musée ainsi que de ses toilettes.

Je reprends le chemin en vélo qui va d'Opua à 5 kms de Paihia vers Kawakawa.

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

14 octobre 2020 De Paihia à Kerikeri

20 Septembre 2021, 10:08am

Publié par kodamian

La veille, je viens de terminer mon " roadtrip " à bicyclette de Paihia à Omapere et retour, et comme par hasard, en retournant à l'auberge Pickled Parrot, je rencontre 2 cyclotouristes, Leo et Jullian, un français et un allemand qui sont venus en Working Holiday Visa en Nouvelle-Zélande.  Après avoir travaillé, ils ont décidé de parcourir le pays à bicyclette. Ils sont en chemin pour Cap Reinga avec tout leur équipement. Je leur pose mille et une question sur le voyage en vélo à travers le pays et je décide de les accompagner jusqu'à Kerikeri ce 14 octobre 2020 grace au vélo dont je dispose par l'auberge.

Voici le vélo de Florian " équipé " :

C'est parti ! Il est presque midi et on quitte Paihia pour une vingtaine de kilomètres pour rejoindre Kerikeri. J'ai fait hier déjà ce trajet dans l'autre sens et il y a quelques montées " sympathiques ". Je vais donc faire l'aller retour Paihia - Kerikeri - Paihia dans la journée.

 Voici le vélo de Léo et son équipement :

Il nous faut environ deux heures pour rejoindre Kerikeri et nous nous posons dans un café pour apprécier cette balade de la journée.

 

 

Au centre-ville, je trouve un restaurant israélien et je me dis que je sais où j'irai manger un falafel.

 

Un des monuments de la ville de Kerikeri est cette oeuvre que l'on trouve dans un des parcs centraux du centre-ville.

 

Puis je prends le vélo vers les chutes d'eau de Wairere. Elles n'étaient pas accessibles en raison de la division des terrains pour les vergers qui ne permettait pas d'utiliser le chemin pour y accéder. Mais depuis 2015, le chemin a été réhabilité et il est désormais possible de venir admirer les chutes en vélo.

Les Chutes d'eau ont une hauteur de 17 mètres et font partie d'un ensemble de chutes d'eau que l'on trouve à proximité. Comme on peut le voir sur les 3 photos, en fonction des précipitations, ce sont 3 paysages différents qu'on peut voir.

Géologiquement parlant, la rivière Wairoa a trouvé son chemin à travers à travers un flux de lave basaltique dus au passé volcanique de la région entre Kaikohe et la baie des iles. Ce sont ces processus qui ont donné naissance à ces paysages d'amphithéatre que l'on peut voir ici.

 

Et voici le courant d'eau ...

Bon, ça suffit pour aujourd'hui et je retourne à Paihia.

Voir les commentaires

14 octobre 2020 Mon premier bilan d'un tour de plusieurs jours en vélo .

20 Septembre 2021, 09:48am

Publié par kodamian

Durant 5 jours, je viens d'aller à bicyclette d'une cote à l'autre de l'ile du Nord de la Nouvelle-Zélande et ça m'a permis d'évaluer mes capacités avec un vélo.

Depuis longtemps déjà, je voulais faire un voyage en vélo de plusieurs jours et j'avais rencontré durant mon confinement à Nelson un français qui avait parcouru une partie de la Nouvelle-Zélande avec tout l'équipement avec lui.

Mais au cours de précédents voyages, il m'est souvent arrivé de croiser des voyageurs en vélo avec tout l'équipement avec eux. Quand j'étais à Boukhara en Ouzbekistan, j'avais ainsi rencontré deux femmes d'une soixantaine d'année, une australienne et une néozélandaise qui avaient pris leurs vélos avec sacoches et sillonnaient les routes d'Asie Centrale. Je m'étais dit que c'était une expérience que je devrais vivre aussi.

 

 

 

Voir les commentaires

13 octobre 2020 De Kaikohe à Kerikeri en passant par Okahau

20 Septembre 2021, 08:43am

Publié par kodamian

Après avoir séjourné de nouveau au Left Bank Hotel à Kaikohe, je pars de bon matin pour me diriger vers Kerikeri. Je vais passer le long du lac Okaihau puis me diriger vers Kerikeri où j'ai vu qu'il y avait plusieurs backpacker's où dormir.

Le long du chemin, je m'arrête pour lire des panneaux qui donnent des explications sur les plantes que je peux voir.

Ainsi, le Ti Kouka était utilisé pour traiter les blessures et des maladies. les jeunes pousses étaient mangées crues comme tonique et pour nettoyer le sang.  Elles étaient également utilisées pour traitement des coliques chez les enfants. Une infusion des feuilles étaient utilisées en cas de coupures et pour certains problèmes de peau. Les graines contiennent beaucoup d'acide linoleique, un des acides gras essentiels.

Le Mahoe : on utilise ces feuilles en infusion dans le cas de douleurs rhumatismales et on les boue pour traiter les scabies.  Quant à l'écorce interne, on l'utilisait pour couvrir et traiter les brûlures.

Je traverse un tunnel à un moment donné sur cette piste cyclable et je suis content d'avoir ma lampe frontale avec moi.

 

 

 

 

Je longe le lac Omapere en me dirigeant dans la direction d'Okaihau

Le lac Omapere est le lieu anestral du Tuna. Les eaux tranquilles du lac Omapere ont permis en effet au Tuna ou anguille de s'y développer et celà a constitué une source d'alimentation pour le peuple maori.

Le Tuna, durant les mois de février à avril quitte le lac Omapere pour un voyage le long de la rivière Utakura pour rejoindre la riviére Hokianga, nageant durant des milliers de miles pour rejoindre la région de l'océan pacifique où elles vont frayer,  située entre les iles Fidji et les iles Tonga. Puis elles vont alors retourner d'où elles sont parties en se laissant porter par le courant et rejoindront ainsi le Lac Omapere après avoir franchi de nombreux obstacles.

C'est à ce moment-là que les maoris posaient leurs filets pour attraper ce trésor venu de la mer.

Ici, un maori qui avait grandi à Utakura raconte qu'il se souvient qu'avec les autres enfants , ils accompagnaient les parents au mois de Mars pour profiter du fait que les anguilles descendaient le courant en se laissant emporter pour les attraper. Les premières à être attrapé étaient les karokaro, les plus petites anguilles, et une fois péchées, elles étaient directement mises sur le feu. C'étaient les plus douces. Puis d'autres variétés descendaient le long de la rivière au fur et à mesure que les pluies étaient plus importantes et que le courant d'eau grossissait. C'étaient alors les plus grosses qu'on pouvait voir quand le courant d'eau était assez profond.

Le Pukeko est un oiseau des marécages connu comme l'animal qui disparait, car il a une capacité importante pour rester cacher dans les marécages malgré la couleur de son plumage.

Puis je poursuis la route en direction d'Okaihau. Cette région comme tant d'autres en Nouvelle-Zélande avait comme activité l'élevage des moutons pour leur laine et la tonte constituait une activité qui donnait du travail pendant la saison aux locaux.

Je m'y arrête pour prendre un café et je tombe sur un restaurateur qui a visité la France et en a conservé de fabuleux souvenirs.

 

 

Le temps se couvre et je reprends la route pour Kerikeri. Il me reste une vingtaine de kilomètres à parcourir et j'estime qu'il me faudra environ 1heure30 pour effectuer ce trajet.

Je quitte ainsi Okaihau  à 8h45 et j'arriverai  à 10h15 à Kerikeri. Exactement 90 minutes. Etant donné que le temps est maussade, je visite rapidement la ville où je reviendrai et retourne en direction de Paihia.

Deux anecdotes : j'ai un copain qui vient juste de m'expliquer comment dessiner un trajet avec mon ordinateur. Je crois que je vais désormais utiliser cette fonction beaucoup plus souvent.

Mais une autre anecdote : pour la première fois aujourd'hui, quand j'écris cet article le 20 septembre 2021, je me suis rendu compte que je pouvais utiliser l'heure à laquelle j'avais pris les photos pour savoir exactement combien de temps j'avais mis.

Je ne suis pas doué en informatique et je dois avouer que j'ai jusqu'à présent utilisé le basique. Mais désormais, je vais utiliser les nouvelles fonctions que je découvre.

Voilà : ci-dessous, j'utilise cette nouvelle possibilité que je viens de découvrir pour vous montrer le chemin que j'ai parcouru pour aller de Kerikeri à Paihia, au Pickled Parrot qui est mon auberge.

 

Voir les commentaires

12 octobre 2020 Retour vers Kaikohe depuis Omapere

20 Septembre 2021, 08:39am

Publié par kodamian

Après avoir passé deux nuits à Omapere et avoir fait de belles balades, je reprends mon vélo pour retourner vers Kaikohe. 

Voici la photo de la journée 

 

Voir les commentaires

11 octobre 2020 Balade autour d'Omapere

19 Septembre 2021, 19:22pm

Publié par kodamian

Suivant les conseils de la propriétaire de mon auberge, je vais à un endroit où la vue est formidable sur l'embouchure de la rivière Hokianga. Effectivement, on peut voir les 2 versants Sud et Nord et on devine la barre que doivent franchir les bateaux pour entrer dans l'estuaire. 

La plage d'omapere et la dune du coté nord d'Hokianga Harbor de l'autre côté constituent la porte de sortie de cette immense baie.

 La nature a su s'adapter aux vents extrèmes qui soufflent sur la cote oùest et on peut voir ici ces arbres endémiques à la Nouvelle-Zélande.

J'arrive sur la plage pour suivre le Waimamaku track. C'est donc la Mer de Tasman qu'on a devant ses yeux.

On voit la Mer de Tasman qui sépare la Nouvelle-Zélande de l'Australie.

 

On a certaines plages de sable blanc et d'autres avec des rochers et des pierres dispersées

Ces longues plages de sable font le bonheur des vacanciers.

 

On trouve des grottes et des caves au bout d'une des plages...

 

En remontant sur la colline, on peut voir les vaches paturer. Ce sont à la fois des élevages ovins et bovins qui ont été la source d'activité dans la région une fois le déboisement terminé.

 Le track longe des propriétés privées et est très bien balisé.

 

Les vues aujourd'hui avec le beau temps incitent à prendre des photos...

Puis je retourne vers la ville et j'admire une fresque qui représente différents moments de la vie et de l'histoire de la région. 

 

C'est tout d'abord l'arrivée du navigateur polynésien PUKE qui découvre l'ile qu'il nommera Aotearoa ou le long nuage blanc.

Les premiers navigateurs trouveront des kiwis.

des hibous...

Il y aura l'utilisation du lin pour faire des cordages entre autres

 

L'Eglise Catholique s'installe dans la région avec Mgr Pompallier.

Les fusils seront une monnaie d'échange dans un premier temps entre les maoris et les pakehas ( non maoris )

Il y eut des naufrages dans la région comme celui du Ventnor qui coula en dehors du port d'Hokianga. Il y eut seulement 3 survivants et une vingtaine de morts. 499 cercueils s'y trouvaient contenant les ossements de chinois morts en NZ qui devaient retrouver la Chine. Ils furent enterrés sur place et les survivants furent accueillis par Charles BRYERS qui était le premier à Hokianga à avoir reçu une licence pour l'alcool en 1870 pour son hotel à Omapere, The Heads, plus tard connu sous le nom de Travellers Rest qui est aujourd'hui l'endroit où se trouve Le Captain Horn.

 Au départ, l'activité forestière était une des principales activités de la région.

L'élevage des vaches laitières était une autre activité importante.

Le Dauphin est connu ici comme un animal amical depuis les temps immémoriaux grace à l'histoire d'un enfant qui était devenu l'ami d'un dauphin qu'il rencontrait régulièrement.

C'est par ce biplan qu'étaient effectuées les déplacement de prêtres pour aller dire les messes dans des endroits très éloignés les uns des autres.

En février 1977, un aventurier des temps modernes Colin QUINCEY a parcouru à la rame le trajet d'Hokianga jusqu'en Australie à bord de son bateau les Tasman Tresspasser.

La peche représente bien sûr une activité importante de cette région.

On trouve des cochons sauvages ici et la chasse représente une activité de loisirs pour les chasseurs.

A opononi, on trouve le grand magasin de cette région et on y trouve également le centre touristique ainsi que des restaurants et cafés.

Voici une photo de la Station de Signal située au sud de l'entrée de la baie et qui permettait d'aider les bateaux en les avertissant du moment où les conditions étaient favorables pour passer la barre.

 On trouve bien sûr un certain nombre de tipis.

On trouva en 1941 cette mine allemande flottante dans le port d'Opononi, qui fut désarmée et prise par la communauté comme prise de guerre.

C'est devant le musée d'Opononi qu'on trouve la mine ainsi que ces sculptures maories.

 

Voir les commentaires